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LEADERSHIP. The word holds a different meaning for everyone, and each person takes a different path on their leadership journey, but there are certain qualities we look for in our leaders.
We want our leaders to be trustworthy, flexible, resilient, inspirational and have all the answers. This can be a tall order for anyone to aspire to let alone achieve on a day-to-day basis. To me, leadership is best when it is shared. When we work together, tapping into each other’s creativity and commitment, we can address and try to solve complex issues.
I have benefitted both professionally and personally from strong leadership, especially during chaotic and trying times. In this issue of the ATA Magazine, in our feature section on trauma, I detail a particularly difficult incident that impacted my life in all possible ways. If it wasn’t for the leadership of my principal and vice-principal at that time, I probably would have left the profession, and our school would have struggled to overcome the trauma many of us were feeling. The administration at that time provided excellent leadership that I was able to surround myself with and that, in turn, impacted my own leadership style.
I am thankful for the work principals and other school and district leaders do to create safe and caring spaces in our schools. Being a leader can be a thankless and tiring job, especially during the pandemic we’ve experienced in recent months. The cancellation of in-person classes dramatically increased the pressures on our schools.
Like all members of the profession, principals and other school and district leaders rose to the challenge that COVID-19 presented. Was it perfect? No, but things rarely are in a pandemic. As we move forward in these uncertain times, we need to continue to work together, as one profession, and share in tackling today’s complex and interconnected problems.
La complexité des problèmes appelle au leadeurship partagé
LEADEURSHIP. Chacun donne à ce mot une signification particulière, et chaque personne en quête de leadeurship emprunte une voie différente, mais nous veillons toujours à ce que nos leadeurs possèdent certaines qualités incontournables.
Nous voulons qu’ils soient dignes de confiance, conciliants, résilients, stimulants, et qu’ils aient réponse à tout. Cela peut représenter un défi de taille à quiconque aspire à mettre en avant ces qualités jour après jour. Pour moi, le leadeurship atteint son apogée quand il est partagé. Lorsque nous travaillons ensemble, tirant parti de la créativité et de l’engagement de chacun, c’est là où nous pouvons réellement aborder des problèmes complexes et tenter de les résoudre.
Moi-même, j’ai profité à la fois professionnellement et personnellement d’un leadeurship fort, surtout lorsque je vivais des situations chaotiques et éprouvantes. Dans ce numéro de l’ATA Magazine, dans la section consacrée au traumatisme, je raconte en détail un incident particulièrement difficile qui a eu un impact considérable dans ma vie. Sans le leadeurship de mon directeur et de mon directeur adjoint, j’aurais probablement quitté la profession, et notre école aurait eu du mal à surmonter le traumatisme que beaucoup d’entre nous subissaient à ce moment-là. Les membres du personnel administratif de l’époque ont eux aussi fait preuve d’un excellent leadeurship dont j’ai pu tirer parti et qui, à son tour, a eu un impact sur mon propre style de leadeurship.
Je tiens à remercier les directeurs d’école et autres leadeurs scolaires du travail remarquable qu’ils ont effectué afin de créer des espaces surs et accueillants dans nos écoles. Il est vrai que le rôle de leadeur peut être ingrat et fatigant, surtout pendant une période de pandémie comme celle que nous vivons depuis plusieurs mois. Sans parler de l’annulation des cours en personne qui a considérablement augmenté les contraintes imposées aux écoles.
Néanmoins, comme tous les membres de la profession, les directeurs et autres leadeurs scolaires ont su relever le défi de la COVID-19. Ont-ils été parfaits? Non, mais rien n’est jamais parfait en période de pandémie. C’est pourquoi, malgré cette période d’incertitude, nous devons continuer à travailler ensemble, au nom de la profession, et faire face à la complexité des nombreux problèmes actuels.